Bulletin d’analyse sur l’Asie de l’Est et du Sud-Est

Auteurs

Adélaïde Martin

Adélaïde Martin est doctorante en science politique à l’université Paris Nanterre, rattachée à l’Institut des sciences sociales du politique (ISP, UMR 7220). Elle est associée à l’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine (IRASEC), membre du Bureau des Jeunes Chercheur·e·s du GIS Asie et fellow de l’Institut Convergences Migrations. Ses recherches portent sur l’internationalisation des élites politiques et administratives cambodgiennes depuis 1979.

Adrien Savolle

Adrien Savolle (Anjia 安佳) finit une maîtrise en anthropologie à l’Université Laval qui analyse les changements affectants les mariages en Chine contemporaine, via les imaginaires sociaux contenus dans les albums photographiques prémaritaux. Il commencera à l’automne 2018 un doctorat sur les transformations sociales engendrées par la création de la nouvelle zone économique spéciale de Xiong’an (雄安).

Alex Chartrand

Candidat à la maîtrise en Science politique à l’Université de Montréal, Alex Chartrand s’intéresse aux enjeux et aux identités des communautés LGBTIQ en Asie du Sud-Est, plus particulièrement aux Philippines. Dans le cadre de son mémoire, il effectue présentement un travail de terrain à Manille.

Alex Payette

Alex Payette est candidat au doctorat en science politique et professeur à temps partiel à l’Université d’Ottawa. Il est titulaire d’une maîtrise en politique comparée et est spécialiste du système politique chinois, de ses mouvements institutionnels ainsi que de ses courants d’idées. Ses principaux intérêts de recherche portent sur les débats intellectuels sur le confucianisme, les mouvements confucéens locaux et leur rôle dans la gouvernance. Alex Payette a effectué plusieurs séjours dans des institutions et groupes de recherche en Chine continentale, dont l’Université de Science politique et de Droit de la Chine de l’Est (华东政法大学) et le Département de science politique de l’Université océanographique de Chine (中国海洋大学).

Alexandre Desmyttère

Étudiant à la Maitrise en Études internationales à l’Université de Montréal (UdeM), les recherches d’Alexandre Desmyttère se concentrent sur les dynamiques internes et externes de l’archipel indonésien. Son attention est principalement tournée à la fois sur les aspects identitaires (culturels, religieux et gestion de la diversité) du pays, mais aussi de ses relations internationales.

Alexandre Marcou

Alexandre Marcou complète un Master en relations internationales à l’Université d’Amsterdam. Il a effectué un stage aux Philippines au cours duquel il a réalisé un documentaire portant sur les transformations urbaines à Manille. Ses intérêts portent sur les relations interculturelles, les mouvements sociaux, et les inégalité sociales notamment dans les pays d’Asie du Sud-Est.

Alexandre Schiele

Alexandre Schiele est chercheur affilié au Centre Louis Frieberg pour les études est-asiatiques de l’Université hébraïque de Jérusalem. Il détient un PhD en Science de l’information et de la communication de l’Université Sorbonne Paris Cité (2017) et un second en Science politique de l’Université du Québec à Montréal (2018). D’une part, il s’intéresse à l’évolution de la pensée et à la pratique des relations étrangères de la République populaire de Chine dans une perspective comparative avec l’histoire politique chinoise et occidentale. De l’autre, il analyse la couverture de la politique chinoise par les médias étrangers, avec pour objectif d’abstraire les cadres interprétatifs qu’ils mobilisent, de suivre leurs évolutions, et d’évaluer leur impact sur la perception de la Chine.

Alexandre Veilleux

Alexandre Veilleux est candidat au doctorat en science politique à l’Université de Montréal et diplômé en développement territorial durable de l’Université KU Leuven en Belgique. Il s’intéresse aux dimensions politiques et sociogéographiques du tourisme en Asie du Sud-Est dans un contexte de mondialisation.

Amandine Davre

Amandine Davre est candidate au doctorat en histoire de l’art et chargée de cours en histoire de l’art japonais à l’Université de Montréal. Ses intérêts portent sur l’évolution de l’art japonais de l’époque Edo à aujourd’hui.

André Pereira

André Pereira est candidat à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Il s’intéresse principalement au rôle des acteurs armés non-étatiques dans le cadre des guerres contemporaines.

Anna Ghiglione

Anna Ghiglione (An Wenxue 安文雪) est professeure agrégée au Département de philosophie et directrice du Centre d’études de l’Asie de l’Est de l’Université de Montréal. Elle est spécialiste de la pensée chinoise ancienne et traditionnelle.

Anne-Julie Robitaille

Titulaire d’un baccalauréat en anthropologie de l’Université de Montréal et d’un microprogramme en langue et culture chinoises de la même institution, Anne-Julie Robitaille (江咪) est présentement candidate à la maîtrise en anthropologie à l’Université de Toronto. Ses intérêts de recherche incluent entre autres l’archéologie préhistorique de la Chine et les enjeux sociopolitiques entourant la pratique archéologique et le patrimoine archéologique en contexte chinois.

Anne-Laure Mahé

Anne-Laure Mahé est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal et diplômée de l’Institut d’Études Politiques (Sciences Po) de Bordeaux. Elle travaille sur la question de la résilience des régimes autoritaires et en particulier sur le cas du Soudan. Anne-Laure est également membre du Pôle de Recherche sur l’Afrique et le Monde Émergent (PRAME) de l’Université de Montréal.

Antoine Chamberland

Ancien coordonnateur de l’Asie en 1000 mots et étudiant à la maîtrise en géographie, Antoine Chamberland travaille sur l’évolution des pratiques foncières et immobilières périurbaines à Yangon au Myanmar dans un contexte de transition politique et économique. Il mobilise une approche de géographie politique en analysant les relations de pouvoir inhérentes aux processus fonciers périurbains.

Ardo Dia

Ardo Dia est titulaire d’une maîtrise en Science politique de l’Université de Montréal et d’une maîtrise en Droit international public de l’Université de Nouakchott en Mauritanie. Il détient également un baccalauréat de l’Université Laurentienne à Sudbury (Ontario). Spécialisé en politique africaine et en études stratégiques, il a enseigné à l’Université de Sherbrooke du Troisième Âge de 2008 à 2010. Il est également président du Groupe d’analyse politique et stratégique (GAPS).

Ariane Laferrière

Ariane Laferrière est candidate à la maîtrise en droit à l’Université McGill et titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université de Montréal. Ariane s’intéresse particulièrement au droit des femmes, au droit international du travail et à la responsabilité sociale des entreprises multinationales. Après un séjour de recherche à Dacca, elle rédige actuellement son mémoire de maîtrise sur les droits du travail des femmes dans l’industrie d’exportation du vêtement au Bangladesh dans le contexte de l’effondrement du Rana Plaza.

Aurore Kamichetty

Aurore Kamichetty est candidate au doctorat en histoire à l’Université de Montréal et l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses recherches portent sur la mémoire pendant l’entre-deux-guerres et son projet de thèse se penche sur la perception de l’arme chimique en France dans les années 1920-1930. Aurore est également membre du Centre d’études sur la paix et la sécurité internationale (CEPSI) et s’intéresse à l’Asie du Sud en marge de ses recherches doctorales.

Bastien Guilloteau

Diplômé d’un baccalauréat en études internationales à l’Université de Montréal et actuellement candidat à la maîtrise en urbanisme et biodiversité au Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris, Bastien Guilloteau s’intéresse notamment aux relations ville-nature en Asie du Sud-Est et plus particulièrement au Vietnam.

Benoît Hardy-Chartrand

Benoît Hardy-Chartrand est chercheur associé à l’Observatoire de géopolitique de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques (UQAM) et membre associé du CÉTASE depuis février 2013. Ses recherches portent sur la politique nucléaire de la Corée du Nord et plus généralement, la sécurité régionale en Asie de l’Est. En 2012, il a été Junior Fellow à l’Université des Nations Unies à Tokyo, au Japon. Il est titulaire d’une maîtrise en science politique (Relations internationales) de l’Université du Québec à Montréal.

C. Michele Thompson

C. Michele Thompson est professeure d’histoire de l’Asie du Sud-Est à la Southern Connecticut State University et titulaire d’un Ph.D. en histoire de l’Asie du Sud-Est de l’Université de Washington. Elle est spécialiste de l’histoire de la médecine traditionnelle vietnamienne et de la médecine coloniale française en Indochine. En plus de la publication de nombreux articles scientifiques, Michele Thompson a co-dirigé un ouvrage intitulé Southern Medicine for Southern People : Vietnamese Medicine in the Making et est l’auteure de Vietnamese Tradition Medicine : a Social History, qui paraîtra bientôt aux éditions National University of Singapore Press. Elle s’intéresse en outre aux enjeux contemporains de l’histoire de la biologie et des études environnementales en Asie du Sud-Est continentale.

Camille-Victoire Laruelle

Camille-Victoire Laruelle est doctorante non-contractuelle à l’Université de l’INALCO (Paris) en « Histoire, société et civilisations » au sein du laboratoire ASIES. Elle étudie, sous la direction de Mme Xiao-Hong Xiao-Planes et de Mr Jin Guangyao (Université de Fudan, Shanghai), le système socio-idéologique de la Révolution culturelle (1966-1976) en lien avec les pratiques intimes féminines. Son objectif est d’éclairer les relations théoriques et réelles qui se sont établies au cours de l’histoire du Parti Communiste Chinois entre un discours idéologique sexuel très normatif, une émancipation féminine revendiquée et les pratiques privées féminines.

Carl Déry

Titulaire d’un doctorat en histoire (Université Laval, 2015), Carl Déry enseigne l’histoire de la Chine depuis une dizaine d’années maintenant, d’abord en Chine, à Chongqing et à Chengdu, mais surtout au Québec, à l’UQTR et à l’Université de Sherbrooke, ainsi que plus récemment, à l’Université Saint-Mary d’Halifax. Il a notamment publié Diplomatie, rhétorique et canonnières : Relations entre la Chine et l’Angleterre, de l’ambassade Macartney à la guerre de l’Opium, 1793-1842 (PUL, 2007).

Catherine Viens

Catherine Viens est candidate au doctorat en science politique à l’Université du Québec à Montréal et coordonnatrice à la recherche du Centre d’études et de recherche sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora (CÉRIAS). Elle est également membre étudiante du Centre d’analyse politique : Constitution et fédéralisme. Ses recherches doctorales portent sur les institutions locales de gouvernance, le système fédéral et les enjeux environnementaux en Inde. Lors de sa maîtrise en droit international et politique internationale appliqués à l’Université de Sherbrooke, elle a été observatrice à la Conférence de Paris sur les changements climatiques (COP 21).

Chen Pin-Yü

Chen Pin-Yü est candidat à la maîtrise en langues étrangères et littérature à l’Université nationale de Taiwan. En 2012, le ministère taïwanais de l’Éducation lui a décerné la Bourse pour chercheur prometteur dans le domaine des sciences humaines et sociales. Il s’intéresse à l’histoire taïwanaise et à la construction du nationalisme dans la littérature.

Cheolki Yoon

Cheolki Yoon est doctorant en communication à l’UQAM. Ses intérêts portent sur l’immigration, les relations interculturelles et internationales, les inégalités, la participation politique et les mouvements sociaux.

Chiharu Chujo

Chiharu Chujo est diplômée d’un Master en sciences politiques de l’ENS de Lyon et doctorante en japonologie de l’IETT (Institut d’études transtextuelles et transculturelles de l’Université Lyon III). Ses recherches se penchent sur le statut social et les aspects politiques des courants musicaux définis comme populaires et alternatifs, tout en les liant à la place des femmes dans la société japonaise.

Christopher Laurent

Christopher Laurent est candidat au doctorat en anthropologie à l’Université de Montréal. Ayant vécu plusieurs années au Japon, il s’intéresse aux liens affectifs et économiques entre zones urbaines et rurales véhiculés au travers de la cuisine régionale japonaise. Sa thèse porte sur les mécanismes qui permettent à ces traditions régionales d’être incorporées dans le patrimoine national.

Claire Bouillot

Claire Bouillot est docteure en anthropologie (EHESS). Ses recherches portent sur des problèmes publics dans le domaine de l’environnement. Dans sa thèse, financée par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et réalisée entre le Centre Norbert Elias et le Centre d’études français sur la Chine contemporaine, elle analyse le phénomène d’“endangerment sensibility” (perception de la mise en danger des espèces) entre la France, Hong Kong et des « mondes chinois » proches par l’exemple du commerce et de l’exposition d’ivoires. Elle réalise actuellement un postdoctorat entre le Centre de formation sur l’environnement et la société (CERES) (ENS/PSL) et le Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA) afin d’étudier la controverse des rejets de l’industrie nucléaire dans l’environnement en France.

Clément Broche

Clément Broche est doctorant en histoire à l’Université du Québec à Montréal. Il enseigne également à l’Université de Sherbrooke (Université du Troisième Âge) les cours « Histoire de la Chine, d’hier à aujourd’hui » et « Comprendre la Chine au XXIe siècle ». Ses intérêts de recherche portent sur les relations sino-africaines et l’histoire globale. Son projet de thèse, « L’Afrique en Chine : représentations, discours et expériences (1912 à nos jours) », interroge le regard porté par la Chine sur le continent africain.

Clément Musil

Clément Musil est chercheur associé à l’Institut Parisien de Recherche Architecture Urbanistique Société (IPRAUS), Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville, ainsi qu’à l’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine (IRASEC). Il s’intéresse aux questions associant transport et utilisation du foncier dans les villes du sud-est asiatique. Il est titulaire d’un doctorat en urbanisme de l’Université Paris-Est.

Danielle Labbé

Danielle Labbé est professeure adjointe à l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal, membre associée du CÉTASE et vice-présidente du Conseil canadien des études sur l’Asie du Sud-Est. Elle est titulaire d’un Ph.D. en urbanisme de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC). Ses intérêts de recherche comprennent l’urbanisation et les pratiques de l’urbanisme dans les pays en développement, l’informalité urbaine, la gestion du patrimoine urbain et architectural, la circulation des modèles urbains et l’appropriation de l’habitat.

Diana Dimitrova

Diana Dimitrova est professeure titulaire d’hindouisme et de traditions de l’Asie du Sud à l’Institut d’études religieuses de l’Université de Montréal. On lui a décerné un doctorat en Indologie moderne (études sud-asiatiques), en Indologie classique et en études anglaises et américaines à l’Université d’Heidelberg, Allemagne.

Diane Ethier

Professeure titulaire au département de science politique de l’Université de Montréal, l’auteure, retraitée depuis 2014, a consacré sa thèse de doctorat et la plupart de ses recherches et publications à l’analyse comparée des transitions de l’autoritarisme vers la démocratie dans plusieurs régions, notamment l’Asie de l’est. Associée au CETASE, elle est responsable du cours « Régimes politiques de l’Asie de l‘Est ».

Dominique Caouette

Dominique Caouette est professeur agrégé de science politique et responsable du pôle Études comparatives et transdisciplinaire de l’Asie du Sud-Est (ECTASE) à l’Université de Montréal.
Crédit photo : Vivien Cottereau

Dounia Karamé

Dounia Karamé est candidate à la maîtrise en science politique – Cheminement professionnel en affaires publiques et internationales à l’Université de Montréal et titulaire d’un baccalauréat en science politique de la même institution. En 2019, Dounia a participé à un stage d’étude en Croatie et Bosnie-Herzégovine afin d’étudier les enjeux linguistiques, religieux, politiques et militaires dans la région pour mieux comprendre les défis liés à ces deux pays depuis la fin de la guerre. Aujourd’hui, elle s’intéresse particulièrement à la montée en pouvoir de la Chine ainsi qu’à ses relations bilatérales avec les pays d’Asie de l’Est, d’Afrique et du Moyen-Orient.

Eléonore Komai

Eléonore Komai est candidate au doctorat en sciences politiques à l’Université Concordia et diplômée d’un master en droit de Sciences Po Paris. Ses recherches portent sur le multiculturalisme au Japon, les politiques d’immigration et d’intégration en réponse aux transformations socio-économiques en Asie de l’Est, et les approches féministes aux politiques publiques.

Elisabeth Charron

Étudiante à la maitrise en études internationales à l’Université de Montréal, Elisabeth Charron détient un baccalauréat en études asiatiques de l’Université de Montréal ainsi que d’un baccalauréat en architecture de l’Université Laval.

Élise Imray Papineau

Élise Imray Papineau est candidate à la maîtrise en anthropologie à l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche entrecroisent les études culturelles, l’anthropologie de l’islam et l’ethnomusicologie. Son terrain de recherche porte sur l’île de Java, en Indonésie. Elle utilise la musique punk comme prisme pour observer et analyser les phénomènes sociaux. Elle a mené sa première enquête de terrain entre mai et août 2018 à Java et planifie d’y retourner dans le cadre de ses recherches doctorales.

Elsa Brais-Dussault

Elsa Brais-Dussault est titulaire d’une maîtrise en Communication internationale et interculturelle à l’Université du Québec à Montréal (UQÀM). Elle s’intéresse à la croissance économique et culturelle des industries culturelles et médiatiques sud-coréennes (ICM), ainsi qu’à l’influence de la Corée du Sud en Asie du Sud-Est. Ses recherches portent sur le développement de la vague coréenne (mouvement Hallyu) en Corée du Sud et à l’international, les relations internationales et politiques, notamment le concept de soft power et l’étude des cultures asiatiques dans une perspective communicationnelle et sémio-pragmatique. Son mémoire en Communication porte sur l’analyse des contenus télévisuels de la vague coréenne en tant qu’expression du soft power asiatique.

Emma Avery

Emma Avery est une étudiante à la maîtrise au sein du département de géographie de l’Université McGill. Sa recherche porte sur les effets socioculturels des nouveaux mégadéveloppements chinois à Johor en Malaisie. Elle s’intéresse notamment à la manière dont les habitants locaux s’adaptent aux paysages en cours de transformation, et à comment les plans d’aménagement évoluent en réponse aux préoccupations locales.

Eric Frécon

Eric Frécon enseigne les relations internationales et la géopolitique à l’École navale à Brest et pilote l’Observatoire Asie du Sud-est au sein de l’Asia Centre, à Paris. Il a été rédacteur en chef adjoint du bimestriel Diplomatie en 2011-2012 ainsi que Research Fellow à la S. Rajaratnam School of International Studies à Singapour. Auparavant post-doctorant à l’Ecole Normale supérieure de Lyon, au sein de l’Institut d’Asie orientale (IAO), et chargé d’études au Centre d’enseignement supérieur de la Marine, il est titulaire d’un doctorat en science politique de l’Institut d’Etudes Politiques (Sciences Po) de Paris. Ses travaux portent principalement sur la piraterie maritime en Asie du Sud-Est.

Étienne Daoust

Titulaire d’un maîtrise en administration de HEC Montréal et actuellement en rédaction d’un mémoire sur les Impacts des Nouvelles Technologies sur la Société Nord-Coréenne via le programme de Science, Technologie et Société de l’UQAM, Étienne Daoust est spécialisé sur la société nord-coréenne. Ayant effectué 4 voyages distincts pour un total de 36 jours à travers les différentes régions de ce pays, il est l’un des québécois ayant la plus grande expérience sur place. Son mandat de chercheur le conduit à titre de conférencier sur les questions nord-coréennes, ainsi que sur les ondes de Radio-Canada et du groupe TVA.

Étienne Tardif-Paradis

Candidat à la maîtrise de science politique, mention affaires publiques et internationales, Étienne Tardif-Paradis s’intéresse aux questions liées à la mondialisation et particulièrement au concept de mondialisation par les villes. Dans le cadre de son stage au Bureau du Québec à Mumbai, il a mené des recherches de terrains sur les distorsions sociales, économiques et environnementales créées par la mondialisation économique et l’urbanisation intensive.

Eugénie Mérieau

Eugénie Mérieau est diplômée de l’Institut d’Études Politiques de Paris (Sciences Po) en Sécurité Internationale et doctorante en sciences politiques à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO) Paris. Elle est lauréate de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN) et de l’Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM). Elle est l’auteure de l’ouvrage Les Chemises Rouges de Thaïlande (IRASEC, 2013, 168 p.).

Flora Roussel

Flora Roussel est candidate au doctorat en littérature comparée et générale à l’Université de Montréal (Montréal/Tiohtiá:ke/Mooniyang, Québec, Canada). Elle travaille sur les notions de corporéité, de performativité et d’affect dans une perspective féministe, queer et intersectionnelle. Sa thèse développe la question du choix quant aux représentations et expressions des sexualités et des subjectivités dans les ouvrages de Wendy Delorme, Akwaeke Emezi, Charlotte Roche et Kanehara Hitomi. En parallèle de son sujet de thèse, elle poursuit des recherches sur le thème de l’exophonie, en particulier dans l’œuvre de Tawada Yōko. Ses recherches ont été publiées dans des revues nationales et internationales (Post-Scriptum, Humanities Bulletin, Études littéraires africaines).
Portails académiques : https://umontreal.academia.edu/FloraRoussel ; https://www.researchgate.net/profile/Flora-Roussel.

Florian Debry

Florian Debry (Fu Longyang 傅龙阳) est candidat au doctorat en science politique à l’Université de Montréal. Il est titulaire d’une maîtrise en science politique de l’Université catholique de Louvain en Belgique. Il a passé plusieurs années en Chine (Université du Zhejiang à Hangzhou 浙大 et Université normale de Pékin 北师大) pour améliorer son mandarin et approfondir sa connaissance de la société chinoise. Ses recherches portent principalement sur la Chine et particulièrement sur la question de l’image nationale à l’étranger et sur les mécanismes de lobbying afin de la promouvoir plus positivement.

Gabriel Fauveaud

Gabriel Fauveaud est chercheur postdoctoral au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CERIUM) et à l’Observatoire Ivanhoé Cambridge du développement urbain et immobilier. Il détient un doctorat en géographie de l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il travaille depuis 2006 sur les transformations contemporaines de la capitale cambodgienne.

Gauthier Mouton

Diplômé d’une maîtrise en Relations Internationales de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Gauthier Mouton est actuellement candidat au doctorat en sciences politiques à l’Université du Québec à Montréal et coordonnateur de l’Observatoire de l’Asie de l’Est. Dans le cadre de sa thèse, Gauthier se penche sur la transition énergétique comme principe de politique étrangère de la République populaire de Chine.

Gilles Verniers

Gilles Verniers est professeur de science politique à l’Université Ashoka, en Inde, chercheur associé au Centre de Sciences Humaines de New Delhi et doctorant au CERI/Sciences Po à Paris. Ses recherches portent sur les mécanismes et les dynamiques de la représentation politique en Inde, ainsi que ses intersections avec la gouvernance centrale et des états. Sa thèse porte sur les transformations politiques des vingt-cinq dernières années en Uttar Pradesh. Il est basé à New Delhi depuis 2005.

Gwenn Pulliat

Gwenn Pulliat est docteur en géographie (Université Paris Ouest) et chercheure associée à l’IRASEC (Institut de Recherche sur l’Asie du Sud Est Contemporaine). Ses travaux portent sur la sécurité alimentaire en lien avec le développement urbain en Asie du Sud Est.

Imane Chalabi

Étudiante à la Maitrise en affaires publiques et internationales à l’Université de Montréal (UdeM), les recherches d’Imane Chalabi se concentrent sur les théories des relations internationales, la résolution de conflit et la violence politique. Elle s’intéresse également aux conflits nationalistes dans les pays des continents émergents comme l’Afrique et l’Asie, à la question de l’identité dans les Caraïbes, ainsi qu’aux problématiques que pose le nationalisme arabe au Moyen-Orient.

Jacques Dupouey

Jacques Dupouey est docteur en droit international public (Université Paris Nanterre), chercheur indépendant spécialiste de l’ASEAN et l’auteur de « La dimension juridique de l’intégration régionale des pays d’Asie du Sud-Est », Éditions Universitaires Européennes, 2017 ; à paraître également « Les droits de l’homme au sein de l’ASEAN : un régime de protection en construction » (article).

Jean-François Bissonnette

Jean-François Bissonnette est chercheur post-doctoral au Département de géographie de l’Université Laval et associé à la Chaire de recherche du Canada en études asiatiques de l’Université de Montréal. Il détient un Ph.D. de l’Université de Toronto.

Jean-François Rancourt

Ancien coordinateur de l’Asie en 1000 mots, Jean-François Rancourt est doctorant en science politique à l’Université de Montréal et chargé de cours au Centre d’études asiatiques (CÉTASE). Se penchant principalement sur le Myanmar, il s’intéresse notamment à la libéralisation politique du pays, à la culture stratégique des militaires birmans et à la censure des musiciens.

Jean-François Rousseau

Jean-François Rousseau est professeur adjoint à l’École de développement international et mondialisation de l’Université d’Ottawa. Il est titulaire d’un doctorat en géographie, qu’il a obtenu à l’Université McGill. Il s’intéresse notamment aux modes de vie des minorités ethniques du sud-ouest de la Chine.

Jérémy Le Blanc-Gauthier

Doctorant à l’Institut d’études religieuses de l’université de Montréal où il travaille, entre autres, sur le concept de kamikaze dans le Japon médiéval. Il y a préalablement complété un mémoire portant sur l’histoire de l’altérité dans le shintō.

John Edison Ubaldo

John Edison Ubaldo, natif de Negros Occidental, a passé vécu cinq ans dans une zone militarisée de la province de Cotabato Sud, sur l’île de Mindanao, avant d’obtenir son diplôme de l’Université des Philippines – Diliman à Manille. En 2020, il est récipiendaire du Canada-ASEAN (Bourse d’études et échanges éducatifs Canada-ASEAN pour le développement). Grâce à cette bourse, il a mené un échange de recherche à l’UdeM durant cinq mois lors des sessions d’hiver et d’été 2021 au Centre d’études asiatiques tout en travaillant également au projet Global Minerals and Local Communities, un consortium de recherche dirigé par l’Université de Guelph, en collaboration avec l’Université de la Saskatchewan, l’Université des Philippines et l’Université de Montréal.

Jonathan Tardif

Jonathan Tardif est titulaire d’une maîtrise en environnement de l’UQÀM et d’un doctorat en géographie de l’Université de Montréal, dans le cadre duquel il s’est intéressé aux enjeux sociopolitiques du développement de l’écotourisme dans les aires protégées du Cambodge. Il est actuellement chercheur postdoctoral à l’Université du Québec en Outaouais où il mène des recherches sur la gouvernance des ressources naturelles au Québec, ainsi que sur les aspects théoriques et pratiques de la résilience des systèmes socio-écologiques.

Jozef Rivest

Finissant au baccalauréat en science politique cheminement Honor à l’Université de Montréal, et candidat pour la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Il s’intéresse aux enjeux et aux dynamiques internes et internationales des pays Est-asiatiques. Ses recherches prennent la perspective du Japon comme base d’analyse. Il prévoit notamment travailler, pour son mémoire, sur l’évolution politique de défense du Japon, l’influence des tensions entourant Taïwan sur celle-ci ainsi que le rapprochement éventuel entre la Corée du Sud et le pays du Soleil levant.

Judith Kohl

Judith Kohl a complété sa maîtrise en études internationales, avec spécialisation en études régionales, à l’Université de Montréal en été 2021. Elle s’intéresse aux enjeux socio-économiques et aux droits des femmes en Asie du Sud-Est, et plus particulièrement aux droits des travailleuses dans l’industrie du vêtement au Cambodge.

Julien Porquet

Candidat à la maîtrise en anthropologie linguistique, Julien Porquet s’intéresse à la culture visuelle, particulièrement bouddhiste. Dans le cadre de son mémoire, il a mené des recherches de terrain en Birmanie, spécifiquement sur la fabrication des images de Bouddha et l’importance de la matérialité dans les pratiques bouddhistes contemporaines.

Juliette Breton

Candidate à la maitrise en Affaires Publiques et Internationales à l’Université de Montréal, Juliette s’intéresse particulièrement aux enjeux de sécurité entre les États ainsi qu’aux enjeux de genre en Asie et particulièrement en Asie de l’Est.

Justin Veuthey

Justin Veuthey est en train de rédiger sa thèse en géographie à l’Université de Montréal, sous la direction du professeur Rodolphe De Koninck. Entre 2009 et 2013, il a passé 22 mois aux Philippines, la plupart du temps sur l’île de Leyte. Ses travaux se penchent sur les impacts des inégalités socio-économiques sur la réduction de risque de catastrophes dues aux aléas naturels. Justin a auparavant travaillé en Europe et en Asie dans les milieux du journalisme et de l’aide humanitaire.

Karel Sauvageau

Karel Sauvageau est bachelière en administration des affaires à l’Université Laval. Elle étudie présentement à l’Université de Montréal en géopolitique de l’Asie.

Karen Bouchard

Karen Bouchard est candidate à la maîtrise en anthropologie à l’Université Laval. Elle a mené, au cours de l’été 2015, des recherches sur les impacts du développement minier sur l’île de Palawan (Philippines), ainsi qu’une recherche ethnographique de 9 mois à Kalinga, situé dans les hautes terres de la Cordillère au nord de l’île de Luçon, sur la gouvernance et la sécurité de l’eau. Ses recherches touchent à la reconnaissance et l’actualisation des droits autochtones ainsi qu’à la gestion du territoire et de l’environnement.

Kathia Lagacé-Nadon

Candidate à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal, Kathia Lagacé-Nadon s’intéresse aux relations entre l’ASEAN, l’Union Européenne, et les grandes puissances. Dans le cadre de son mémoire, elle a effectué un terrain de 7 mois en Europe (France, Belgique) et en Asie (Singapour, Malaisie, Indonésie et Philippines).

Kellyane Levac

Diplômée au baccalauréat de l’université McGill en développement international et détentrice d’une maîtrise en science politique de l’Université de Montréal, Kellyane poursuit ses études en environnement minier pour mieux comprendre les enjeux dont font face les communautés autochtones tant au Canada qu’à l’étranger. Ses recherches portent principalement sur la gouvernance environnementale chez les peuples autochtones ainsi que sur le rôle des femmes dans les sociétés d’Asie du Sud-Est.

Laura Vigo

Laura Vigo est conservatrice pour l’art asiatique au Musée de Beaux-Arts de Montréal ou elle a été responsable de l’exposition "L’Empereur Guerrier de Chine et Son Armée de Terrecuite" en 2010 et du réaménagement de la collection permanente d’art chinois et japonais en 2012. Elle détient un doctorat en archéologie chinoise, une maîtrise et un diplôme post-universitaire en arts asiatiques de la School of Oriental and African Studies (SOAS) de l’Université de Londres. En 2013, Laura Vigo a également fait partie du comité scientifique de l’exposition "Clemenceau, le Tigre et l’Asie", qui est présentée au Musée Guimet à Paris jusqu’au 16 juin 2014.

Laurence Choquette Loranger

Laurence Choquette Loranger est étudiante au baccalauréat en Études internationales à l’Université de Montréal. Elle est l’une des fondatrices de l’organisme Jeunesse TAVAS qui a mis sur pied d’une maison des jeunes en Indonésie en 2016. Passionnée par les langues, Laurence parle déjà l’indonésien et s’intéresse désormais au tagalog et au malais. Ses recherches portent sur la région de l’Asie du Sud-Est, et plus particulièrement sur l’actualité politique des Philippines.

Laurent Chircop-Reyes

Laurent Chircop-Reyes est doctorant en anthropologie à l’Université Aix-Marseille (Institut de recherches asiatiques – IrAsia) et titulaire d’un Master de sinologie. Sa recherche doctorale porte sur la transmission et la pratique du savoir-faire des escorteurs du XIXe siècle en Chine du Nord, notamment à travers l’analyse des relations sociales qui s’établissaient entre ces derniers et les Marchands du Shanxi.

Laurie Chartrand

Candidate à la maîtrise à l’Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) de Genève et détentrice d’un baccalauréat en Études internationales de l’Université de Montréal, Laurie Chartrand s’intéresse notamment au rôle des arts et de la culture dans les conflits civils et la construction de la paix.

Léa Gruyelle

Léa est récemment diplômée d’une maîtrise en Sciences Politiques de l’Université McGill. Elle s’intéresse aux régimes politiques et au développement en Asie et Asie du Sud-Est. Elle s’est dernièrement concentrée dans ses recherches sur le rôle de projets de développement tels que la Nouvelle Route de la Soie pour la légitimité du régime politique chinois.

Lian Chen

Doctorante au sein du Laboratoire Langues, Textes, Discours, Dictionnaires (EA 7518 LT2D) de l’Université de Cergy-Pontoise et lectrice à l’Université de Grenoble-Alpes, Lian Chen rédige présentement sa thèse sur l’« analyse comparative des expressions idiomatiques chinoises et françaises concernant les parties du corps humain et les animaux ».

Loïc Aloisio

Loïc Aloisio est actuellement doctorant en langue et littérature chinoises à l’Institut de Recherches Asiatiques (IrAsia) de l’Université d’Aix-Marseille, où il prépare une thèse sous la direction de Pierre Kaser qui porte sur l’étude et l’analyse de la nouvelle génération d’auteurs de science-fiction chinoise (1985-).

Lucile Druet

Docteur en arts plastiques (Université Jean Monnet, Saint-Étienne, France). Lucile Druet vit et travaille au Japon depuis 2011. Elle est actuellement chargée de cours à l’Université de Kansai Gaidai (Hirakata, Osaka). Ses travaux de recherche se portent actuellement sur le kimono dans ses dimensions techniques (teinture, tissage, travail de la soie), ses évolutions historiques, ses usages et ses terminologies, mais également dans ses dimensions esthétiques, tel qu’on peut les voir dans la littérature (romans modernes), certaines pratiques picturales (peinture Bijinga) ou scéniques (théâtres Noh et Kabuki, danse Butō, spectacles joués par les Maiko et Geiko de Kyōto).

Maï-Lan Thaler

Étudiante en doctorat d’études politiques à l’Université d’Ottawa, Maï-Lan Thaler s’intéresse à la relation entre l’autorité politique et les institutions bouddhistes en Chine. Après un mémoire sur l’institutionnalisation du bouddhisme en République Populaire de Chine depuis les années 1980, dans le cadre du master ASIOC (Institut d’Études Politiques de Lyon et ENS Lyon), elle s’est tournée vers les relations internationales pour s’intéresser à l’émergence d’une diplomatie bouddhiste chinoise, élaborée dans le cadre de la politique de Front Uni du Parti Communiste de Chine, sous le gouvernement du président Xi Jinping.

Maïka Sondarjée

Maïka Sondarjée a obtenu sa maitrise en science politique à l’Université de Montréal et est candidate au doctorat en science politique (relations internationales) à l’Université de Toronto. Elle travaille sur l’Inde, l’Amérique latine et les changements de paradigmes en relations internationales, notamment dans le milieu du développement international.

Mamoudou Gazibo

Mamoudou Gazibo est professeur au Département de science politique de l’Université de Montréal et coordonnateur du Pôle de recherche sur l’Afrique et le monde émergent (PRAME). ll a publié de nombreux ouvrages et articles sur la politique comparée, les processus de démocratisation en Afrique, les relations entre la Chine et l’Afrique et les enjeux pour l’Afrique de l’intensification de ses relations avec les pays émergents. Il est par ailleurs impliqué depuis une dizaine d’années comme expert dans les efforts de démocratisation et de développement menés en Afrique par des organisations internationales comme les Nations Unies, l’Union africaine et l’Organisation internationale de la Francophonie.

Manuel Litalien

Manuel Litalien est professeur agrégé à l’Université Nipissing. Il est co-directeur de PhiLab Ontario du Réseau canadien de recherche partenariale sur la philanthropie (PhiLab) financé par le CRSH. Ses intérêts de recherches portent sur les régimes providentiels, la philanthropie en milieu éloigné, le bouddhisme engagé, les mouvements théologico-politiques transnationaux, les politiques identitaires, les inégalités sociales et le développement communautaire en Asie du Sud-Est (Thaïlande, Laos, Cambodge, Myanmar). Ses projets actuels touchent aux relations entre gouvernements et organisations religieuses dans les politiques sociales (santé, vieillesse, famille, éducation, assurance-emploi, droits des minorités, réfugiés, pauvreté). Il se spécialise également sur les enjeux juridiques entourant le pluralisme religieux, la question du genre et de leur accès à la justice en Thaïlande. Il occupe depuis 2013 un poste de professeur adjoint à l’Université Mahidol (Thaïlande).

Marie-Eve Reny

Marie-Eve Reny est professeure adjointe au Département de science politique de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur les facteurs à l’origine de la résilience des régimes autoritaires et sur la mobilisation sociale et religieuse dans ces contextes.

Marine Depléchin

Marine Depléchin est doctorante en sciences de l’éducation à l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), rattachée à l’axe « Éducation, Enfance-s et Société en Asie Orientale » (EESAO) établi au sein de l’Institut Français de Recherche sur l’Asie de l’Est (IFRAE). Ses recherches portent sur les modes d’évaluation des compétences scolaires au Japon, au prisme des courants égalitariste et méritocratique. Elle est également professeure de japonais titulaire au secondaire.

Marjolaine Morin-Martel

Marjolaine Morin-Martel a complété un baccalauréat en Économie et Politique à l’Université de Montréal et étudie actuellement l’économie à l’Université McGill. À l’été 2015, elle a mené des recherches sur l’Ile des Palawan aux Philippines.

Martin Laroche

Martin Laroche est candidat à la maîtrise en Études Internationales à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la mobilisation sociale et les impacts sur la qualité de l’alimentation aux Philippines et au Mexique. Martin est également membre de l’Observatoire sur la souveraineté alimentaire du Réseau d’études des dynamiques transnationales et de l’action collective.

Marwan Attalah

Marwan Attalah est candidat au doctorat à l’Université du Québec à Montréal (UQÀM) et l’Université Catholique de Louvain, et détenteur d’une maitrise en sociologie de l’UQÀM. Il est coordonnateur général de l’ERCA (Équipe de recherche sur les Cosmopolitiques Autochtones) et assistant de recherche au CÉRIAS (Centre d’études et de recherche sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora). Dans le cadre de ses recherches, il s’intéresse aux luttes territoriales en Inde et au Brésil, ainsi qu’aux acteurs de la guérison en contexte autochtone.

Mary Ann Manahan

Mary Ann Manahan est chargée de programme auprès de l’ONG Focus on the Global South-Philippines. Elle travaille sur le patrimoine naturel, l’investissement, la justice sociale et environnementale et les questions liés au genre. Mary Ann est titulaire d’un baccalauréat en sociologie et a suivi plusieurs séminaires de maîtrise en développement et études féministes à l’Université des Philippines-Diliman. Elle est la première chercheuse-militante du programme Initiatives in Critical Agrarian Studies (ICAS) auprès de l’Institute of Social Studies (ISS) de La Haye, aux Pays-Bas.

Mathieu Hamelin

Mathieu Hamelin est candidat à la maîtrise en Études internationales à l’Université de Montréal. Il mène des recherches sur la responsabilité sociale des entreprises, la mondialisation de la production et les droits des travailleurs dans les pays en développement.

Mathieu Rondeau

Candidat à la maîtrise en Études cinématographiques à l’Université de Toronto et détenteur d’un baccalauréat en Études asiatiques de l’Université de Montréal, Mathieu Rondeau s’intéresse aux cinémas asiatiques contemporains comme véhicules médiatiques servant à faire la lumière sur les fonctionnements politiques, socio-économiques et culturels des nations qu’ils définissent. Il travaille actuellement sur un traité portant sur la place des enfants dans l’animation de science-fiction au Japon.

Matthias Alffram

Matthias Alffram, étudiant à la Maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Matthias s’intéresse aux enjeux liés aux droits humains et à la sécurité en Asie du Sud-Est et au Moyen-Orient.

Maxime Lauzon-Lacroix

Maxime Lauzon-Lacroix est chercheur affilié au Centre for Chinese Studies de l’Université de Stellenbosch, en Afrique du Sud. Il détient un M.Sc. en Affaires internationales de la London School of Economics et de l’Université de Pékin, de même qu’un B.Sc. en Études internationales de l’Université de Montréal. Après avoir travaillé et étudié en Chine pendant quatre ans, Maxime vit maintenant à Johannesburg.

Maxime Paquin

Maxime Paquin est titulaire d’une maîtrise en affaires publiques et internationales de l’Université de Montréal. Il vit actuellement à Taïwan et s’intéresse particulièrement à la diplomatie culturelle québécoise, aux relations entre la Chine, Taïwan et l’ASEAN ainsi qu’à la gouvernance d’Internet.

Maximilien Gachet

Maximilien Gachet complète actuellement la maîtrise en études internationales de l’Université de Montréal, suivant une spécialisation en coopération, développement et économie. Il a réalisé un mémoire de recherche en fin de licence (en relations internationales) qui portait sur la stratégie des petits-États pour se faire une place sur la scène internationale, en s’appuyant sur le cas de la construction de la politique étrangère singapourienne de 1965 à nos jours. Ses intérêts portent principalement sur les enjeux de sécurité en Asie de l’Est et du Sud-Est.

Mélissa Côté-Douyon

Mélissa Côté-Douyon est candidate à la maîtrise en urbanisme à l’Université de Montréal. Elle est titulaire d’un baccalauréat en études internationales de l’Université de Montréal. Ses intérêts portent sur les enjeux de « genre et ville » dans les pays du Sud.

Michel Richard

Michel Richard est responsable des langues asiatiques et chargé de cours de japonais au Centre de langues de l’Université de Montréal. Il s’intéresse en particulier au renouveau de l’enseignement de la langue japonaise et a participé, seul ou avec des collègues, à l’élaboration de plusieurs recueils d’apprentissage visant à enrichir ce renouveau.

Michelle Cho

Michelle Cho est professeure adjointe en études coréennes (Korea Foundation) au Département d’études asiatiques de l’Université McGill. Elle a auparavant effectué un post-doctorat à l’Université Brown et est titulaire d’un doctorat en littérature comparée de l’University of California, Irvine. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un ouvrage intitulé The Disenchantment of the Global : Post-millennial South Korean Cinema.

Nicholas Bautista-Beauchesne

Nicholas Bautista-Beauchesne est candidat à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Il s’intéresse principalement aux questions de corruption et de transparence dans le contexte malaisien. Après un terrain de quatre mois à Kuala Lumpur, il rédige actuellement son mémoire sur les politiques anti-corruption du gouvernement en Malaisie.

Ninon Lambert

Ninon Lambert est étudiante à la maîtrise en anthropologie. Elle travaille sur l’utilisation de la robotique sociale pour les soins pour personnes âgées au Japon et a notamment fait un terrain de six mois à Tokyo grâce à une bourse de recherche du gouvernement japonais (MEXT).

Ok-kyung Pak

Ok-kyung Pak est titulaire d’un Ph.D. en anthropologie de l’Université Laval. Elle est chercheuse associée au CÉTASE. Elle a publié plusieurs articles sur Sumatra occidental, l’Indonésie et l’île de Jeju en Corée de Sud.

Olivier Mbabia

Olivier Mbabia est coordonnateur-adjoint du Pôle de recherche sur l’Afrique et le monde émergent et a été chercheur post-doctorant du GIERSA à l’Université de Montréal. Ses travaux portent sur une approche comparée des politiques extérieures des puissances émergentes vis-à-vis de l’Afrique (Chine, Turquie et Corée du Sud).

Patrick Boulanger-Plante

Patrick Boulanger-Plante est candidat à la maîtrise en science politique à l’Université du Québec à Montréal. Ses recherches portent sur les relations internationales des acteurs non étatiques avec la Corée du Nord. Outre son intérêt pour ce pays, il s’intéresse à la politique sud-coréenne, la diplomatie québécoise ainsi qu’à l’aide humanitaire et le tourisme dans les relations internationales.

Ping Huang

Ping Huang est Docteure et chercheure associée au Centre d’études sur l’intégration et la mondialisation, Institut d’études internationales de Montréal. Issue d’une double formation d’ingénieur en télécommunication et de géographe, Ping Huang est spécialiste des questions liant la gouvernance et les technologies de l’information et de la communication (TIC). Elle poursuit ses recherches sur les principaux instruments de la diplomatie chinoise : la diplomatie numérique, la gouvernance d’Internet, la diplomatie d’entreprise, les nouveaux médias. Elle enseigne les politiques étrangères de la Chine dans différentes universités québécoises.

Raluca Stanescu

Raluca Stanescu est étudiante finissante à la maîtrise en Étude internationale, coopération, développement, économie à l’Université de Montréal. Ayant comme pôle d’intérêt l’Asie de l’Est et du Sud-Est, elle s’intéresse au développement des régions et populations marginalisées.

Robin Laillé

Candidat à la maîtrise de recherche en géographie à l’Université de Montréal sous la direction de Gabriel Fauveaud, Robin Laillé étudie les liens entre investissements transnationaux et relations sociospatiales à Sihanoukville au Cambodge. Il tente de mettre en perspective son étude de cas avec le contexte plus global des nouvelles routes de la soie menées par la Chine.

Rodolphe De Koninck

Titulaire de la Chaire de recherche senior du Canada en études asiatiques depuis juillet 2002, Rodolphe de Koninck a été professeur titulaire au département de géographie de l’Université Laval à Québec, Canada, de 1970 à 2002. Il détient un Ph.D. de la National University of Singapore (NUS). Il a écrit de nombreux livres et articles sur l’Asie du Sud-Est.

Rowena Xiaoqing He

Rowena Xiaoqing He est titulaire d’un Ph.D. de l’Université de Toronto et enseigne un cours sur les manifestations de la place Tiananmen à l’Université Harvard. Elle est l’auteure de l’ouvrage Tiananmen Exiles : Voices of the Struggle for Democracy in China.

Sachiyo Kanzaki

Sachiyo Kanzaki est chargée de cours au CETASE. Elle est titulaire d’une maîtrise en relations internationales à l’Université Ritsumeikan ainsi que d’une maîtrise en science politique et d’un doctorat en anthropologie à l’Université de Montréal. Elle a effectué ses recherches postdoctorales à la Johnson-Shoyama Graduate School of Public Policy de l’Université de Saskatchewan. Elle se spécialise dans les enjeux sociopolitiques du Japon et ses intérêts de recherches portent sur la question de l’autonomie des collectivités et du développement régional.

Sara Pavone

Titulaire d’un baccalauréat en Traduction et Interprétation de l’Université de Bologne (Italie), Sara est inscrite à la Maîtrise en Sciences Internationales et Diplomatiques chez le même établissement universitaire. Actuellement, elle étudie à l’Université de Montréal dans le cadre d’un programme d’échange Overseas. Ses intérêts de recherche incluent l’économie politique internationale, spécifiquement le développement économique des pays émergents, soit en Afrique soit en Asie.

Sarah É. Sawyer

Sarah É. Sawyer est candidate à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse particulièrement à la politique birmane et aux enjeux liés au trafic de stupéfiants. Sarah travaille actuellement à l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime à Bangkok.

Sarah Moser

Dr Sarah Moser est professeure titulaire au sein du département de géographie de l’Université McGill. Sa recherche en géographie urbaine et culturelle porte sur des projets de villes nouvelles planifiées en cours de construction dans le ‘Sud global’, et s’intéresse particulièrement à la géopolitique, la politique culturelle et l’économie politique.

Sarah Neau

Sarah Neau est candidate à la maîtrise en histoire de l’art à l’Université François-Rabelais de Tours. Elle s’intéresse aux productions artistiques est-asiatiques qui témoignent en particulier d’un rapport entre l’homme et son environnement urbain. Dans le cadre de son mémoire, elle a effectué une année d’échange à l’Université Sungkyunkwan à Séoul et travaille parallèlement en tant que professeur de Français Langue Etrangère à l’Université Normale de Qufu dans la province de Shandong en Chine.

Sophie Biard

Sophie Biard a réalisé sa thèse de doctorat à la Sorbonne et à l’Ecole du Louvre sur l’histoire contemporaine de la conservation et de la diffusion des statues d’Angkor. Pour ses recherches, elle a résidé plusieurs années au Cambodge, où elle travaillait auprès de l’Ecole Française d’Extrême-Orient.

Stéphane Lefèvre

Stéphane Lefèvre réalise sa maîtrise en science politique, relations internationales à l’Université Libre de Bruxelles. Il est présentement en échange à l’Université de Montréal, également dans le département de science politique.

Stéphanie Martel

Stéphanie Martel est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal et a été coordonnatrice de L’Asie en 1000 mots de ses débuts à mai 2015. Elle est rattachée au Centre d’études de l’Asie de l’Est et au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM). Elle est titulaire d’un M.Sc. en science politique de l’Université Lumière Lyon II. Stéphanie est actuellement Visiting Research Fellow au Center for Strategic and International Studies (CSIS) à Jakarta, en Indonésie. Ses recherches portent sur le rôle du discours dans le régionalisme sécuritaire en Asie du Sud-Est.

Steve Déry

Steve Déry a obtenu son doctorat au département de géographie de l’Université Laval en 1999. Il a ensuite réalisé un séjour postdoctoral auprès de l’Université Toulouse II – Le Mirail. Depuis 2003, il est professeur au département de géographie de l’Université Laval. Chercheur sur l’Asie du Sud-Est continentale depuis plus de 20 ans, il a publié La colonisation agricole au Vietnam (PUQ, 2004) et plusieurs articles qui portent sur l’intégration des régions montagneuses en Asie du Sud-Est.

Steven Peng-Seng

Steven Peng-Seng est candidat à la maîtrise en histoire à l’Université de Montréal et titulaire d’un baccalauréat en études est-asiatiques (spécialité histoire), également à l’Université de Montréal. Il s’intéresse à la colonisation et à la modernisation en Asie, ainsi qu’à tous les phénomènes historiques reliés à la « rencontre » entre l’Asie et l’Occident tels que le panasiatisme, sur lequel porte son mémoire de maîtrise.

Thibault Paris

Thibault Paris complète un master "carrières européennes et internationales" (mention "conflits et développement") à Sciences Po Lille, en France. Il a effectué un an d’échange universitaire (2013-2014) à l’université Hallym en Corée du Sud, et deux stages dans le domaine des droits de l’Homme des Nord-coréens (Database Center for North Korean Human Rights, Mulmangcho). Enfin, il a rédigé son mémoire de master sur les mobilisations de la société civile sud-coréenne après le naufrage du ferry Sewol.

Vivien Cottereau

Candidat à la maîtrise en Science politique à l’Université de Montréal, Vivien Cottereau s’intéresse particulièrement aux enjeux de coopération internationale. Il a effectué un stage aux Philippines dans le cadre d’un projet de recherche portant sur l’économie politique des terres et des ressources et s’apprête à effectuer un échange à l’Université des Philippines.

William Wong

William Wong étudie à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Il est titulaire d’un baccalauréat bidisciplinaire en philosophie et science politique à l’Université Queen’s. Ses intérêts de recherche incluent les enjeux de sécurité, les relations internationales et l’économie politique.

Wladimyr Malyk

Titulaire d’une licence en Histoire (Lyon 2) avant d’intégrer une licence en Japonais LLCER (Lyon 3), Wladimyr Malyk a étudié un an à l’université Ritsumeikan de Kyôto, avant de poursuivre en master Études japonaises. Après un second échange à Kyôto, cette fois-ci à Ryûkoku, il réalise depuis 2023 une thèse sous la direction de Bernard Thomann au sein de l’IFRAE à l’INALCO, portant sur les conditions de l’implantation du Parti Communiste Japonais à Kyôto dans la période d’après-guerre.

Xavier Robillard-Martel

Dans le cadre de ses études à la maîtrise en anthropologie (Université de Montréal, 2017), Xavier Robillard-Martel s’est intéressé à l’histoire et à la structure du racisme en Louisiane. Il participe actuellement à un projet de recherche visant à explorer les expériences de discrimination des jeunes Coréens au Japon, sous la direction du professeur Bernard Bernier (Université de Montréal).

Xiaomeng Xie

Xiaomeng Xie est doctorante en littérature comparée à l’Université de Montréal. Ayant accompli ses études en langue et littérature françaises à Beijing, elle s’est rendue à l’Université de Montréal en 2014. Ses domaines d’intérêt sont les suivants : le problème de la maternité dans la littérature, l’étude de la Chine à l’étranger, le bouddhisme, et le taoïsme. Sa thèse portera sur la représentation de la mère dans la littérature moderne chinoise.

Yan Lasnier-Le Quang

Yan Lasnier-Le Quang est bachelier en études asiatiques à l’Université de Montréal. Il y étudie présentement à la maîtrise en science politique.

Yann Roche

Yann Roche est professeur au Département de géographie de l’UQAM. Il est aussi chercheur en résidence à l’Observatoire de géopolitique de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques, et membre du Centre Interdisciplinaire de recherches en développement international et société (CIRDIS) de l’UQAM.

Yaxin Zhou

Yaxin Zhou est étudiante à la maitrise en études internationales, option études européennes, à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse aux actions extérieures de l’Union européenne, aux relations inter-régionales entre l’Europe et l’Asie et inter-institutionnelle entre l’Union européenne et l’ASEAN. Son mémoire porte sur la coopération entre l’UE et l’ASEAN dans l’élaboration et l’évolution des normes dans le domaine de la sécurité non-traditionnelle en Indo-Pacifique. Elle s’intéresse également aux politiques extérieures de la Chine et à ses politiques numériques.

Zichuan Gan

Zichuan Gan est étudiant à la maîtrise de littérature comparée à l’Université de Montréal sous la direction de Livia Monnet. Site web personnel : www.ganzichuan.com.